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| 法语翻译经典品读:《La peste 鼠疫》第一章第八节(3) |
| 作者:未知 文章来源:互联网 点击数 更新时间:2013/1/18 13:47:58 文章录入:admin 责任编辑:admin |
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Par la suite, Grand devait d'ailleurs signaler à Rieux d'autres changements dans le caractère de Cottard. Ce dernier avait toujours été d'opinions très libérales. Sa phrase favorite : « Les gros mangent toujours les petits » le prouvait bien. Mais depuis quelque temps, il n'achetait plus que le journal bien pensant d'Oran et on ne pouvait même se défendre de croire qu'il mettait une certaine ostentation à le lire dans des endroits publics. De même, quelques jours après s'être levé, il avait prié Grand, qui allait à la poste, de bien vouloir expédier un mandat de cent francs qu'il envoyait tous les mois à une sœur éloignée. Mais au moment où Grand partait :
Enfin il avait eu avec Grand une curieuse conversation. Celui-ci avait été obligé de répondre aux questions de Cottard intrigué par le petit travail auquel Grand se livrait chaque soir.
Grand avait paru surpris et Cottard avait balbutié qu'être un artiste devait arranger bien des choses.
- Allons, dit Rieux à Grand le matin des affiches, l'histoire des rats lui a tourné la tête comme à beaucoup d'autres, voilà tout. Ou encore il a peur de la fièvre.
La voiture de dératisation passa sous leur fenêtre dans un grand bruit d'échappement. Rieux se tut jusqu'à ce qu'il fût possible de se faire entendre et demanda distraitement l'avis de l'employé. L'autre le regardait avec gravité :
Le docteur haussa les épaules. Comme disait le commissaire, il y avait d'autres chats à fouetter. 文章内容来自网络,如果本文侵犯了您的权益,请联系我们,我们将撤掉此文,并送出我们真诚的歉意。 |
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